J’y pense depuis mon année en Australie. Ça a commencé un jour ou je suis tombé sur une photo d’un fjord puis sur une vidéo avec des images de la Norvège. Cette vidéo, en plus d’être sacrément bien tournée / montée, a de quoi faire rêver avec les idées qu’elle transmet. Quelques recherches plus tard, j’ai bien compris que la Norvège est LE pays à visiter.
Une fois qu’on a décidé de partir, la préparation d’un road trip comporte plusieurs étapes. Je vais parler dans les prochains articles de la préparation de la moto pour partir avec d’abord le choix du 2-roues.
Ce que j’aime avec un road trip moto, c’est le fait de devoir bien choisir l’équipement qu’on emmène. Non je n’ai pas le coffre d’un break et je n’ai pas non plus les 7 places d’un monospace mais je n’en ai pas besoin.
Un rapide ticket dans la précipitation des préparatifs.
Ça fait un an que je suis revenu d’Australie et plus que ça que je veux absolument partir en Norvège à moto. Un calendrier désynchronisé fait qu’aucun ami ne pourra m’accompagner. Ça n’est pas assez pour me faire rester. Si je veux accepter d’être à un bureau pour travailler le reste du temps, j’ai besoin de casser mon quotidien, de sortir de ma zone de confort.
10h, réveil deux heures après mon alarme. J’ai plusieurs choses à régler avant de partir :
J’ai fini la révision de la moto la veille. Je pars simplement avec de la graisse de chaine. Un plein d’essence et je décolle.
Réveil à 8h30, départ à 9h45 après avoir dit au revoir aux voisins de la veille.
Aujourd’hui il me faut avancer alors je pars en direction de Spa puis Tiège où je rejoins l’autoroute. Encore une fois, les routes de campagne sont un vrai, vrai bonheur à rouler.
Réveil 8h30, mon voisin français est déjà parti. Je n’ai pas entendu de moteur, bref on a échangé nos numéros pour se retrouver ce soir, on verra bien.
L’idée de louper le ferry n’aide pas, réveil 6h50, le temps de se laver et de tout paqueter il est 7h35. Éric est levé et se prépare un petit déjeuner quand l’heure de l’au revoir arrive. Il lui attend une longue traversée de deux jours pour l’Islande, on se croisera peut être bien à Paris un jour!
Je suis le dernier à me réveiller ce matin, Herbert a déjà tout rangé mais traine un peu pour le petit déj.
Il a légèrement plu avant que je ne sorte, rien de méchant.